Une petite abeille noire que j'ai assommée par mégarde en jardinant. Le temps qu'elle se remette de ses émotions je l'ai photographiée au hasard, avec le soleil dans les yeux, et cette photo était nette. Et puis elle s'est envolée.

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Cela fait quelques temps que je n'ai pas glâné de cailloux. C'est que mon esprit tout entier était – est encore – absorbé par certaines pensées, qui fermentaient depuis trop longtemps. J'ai commencé à les écrire, mais si vous ne deviez lire qu'un seul article sur le sujet, je vous enjoins à lire celui de Sydney Azari.

We could have deeply meaningful lives, and create circumstances for everyone else to have meaningful lives too. […] The fight for the future should not just be a fight against death, but a fight to truly live.

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Sur la théorie de la gestion de la peur et la publicité.

Terror management theory holds that when we fear death, we seek to be a part of something larger than ourselves as individuals. And, for better or worse, buying is one of the primary ways we engage with society.

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Cet article sur le concept de Western Melancholy, qui nous empêche d'imaginer un futur différent de celui auquel nous nous résignons (ou auquel nous ne voulons pas penser).

"Western melancholy” can also be understood as the ultimate consequence of our community’s acceptance of the incapacity to stop devastation of the environment and climate change by transforming the social and economic models responsible for those problems.

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Si vous aimez pleurer dans le train, Lambeaux de Charles Juliet est une lecture idéale pour un trajet de deux heures.

Tu es tenace, obstiné et tu te promets que ce sillon que tu commences à ouvrir, tu l'ouvriras quoi qu'il arrive jusqu'à l'autre extrémité du champ.